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Yobanashi Deceive IV (1)

Le luminaire orange pâle éclairait la pièce bien rangée.

Bien rangée était une bonne façon de mettre des mots dessus, mais en réalité, c'était parce que très peu d'objets décoraient la chambre.

Une petite télévision LCD, une grande table quadrillée. Le reste était constitué de quelques coussins autour de la table et quelques livres pour enfants sur l'étagère. Il y avait aussi quelques casiers de rangement colorés pour ranger nos vêtements - dans l'ensemble, la salle était insensible et méthodique de cette façon.

Au bout du premier étage des chambres individuelles se trouvait la "Chambre 107".

Assis sur la couchette inférieure légèrement sale de l'un des deux lits superposées, mon lit, nous avions une habituelle réunion d'analyse difficile.

Le sujet d'aujourd'hui était -"Que devrions nous faire, nous qui sommes les 'monstres' de cet établissement, pour laver nos noms ?"

...Bien que j'ai dit que c'était le "sujet d'aujourd'hui", honnêtement c'était le même sujet que celui d'hier et aussi celui d'avant hier.

Mais même aujourd'hui, aucun d'entre eux ne donnait une quelconque impression de parler, et ils n'avaient pas non plus répondu à ma question "alors qu'est ce que vous en pensez, vous deux ?". Dans la faible lumière, le silence s'étendit en quelques minutes.

"Aah~ Sérieux, qu'est ce qu'on pourrait bien faire~?"

Je ne pouvais m'empêcher de laisser sortir ces mots de capitulation. En entendant ça, Seto a tout simplement serré son oreiller contre sa poitrine avec une expression qui donnait l'impression qu'il était sur le point de pleurer.

"Cela doit être de ma faute, au final. Je suis vraiment désolé..."

"Non, ce n'est pas que toi. Ne dis pas des choses comme ça. Aussi, n'utilise pas de keigo (1).

Les paroles faiblardes de Seto ont été immédiatement coupées par Kido, et ses épaules tremblèrent de peur, avant de laisser sortir une petite excuse chuchotée, enterrant son visage dans l'oreiller.

Seto pleurait toujours à tout bout de champ, presque comme s'il était une sorte de combinaison entre un bébé animal et un enfant.

Il pleurait quand il tombait, quand il avait faim, quand la nuit approchait... il pleurait même par moments sans réelle raison. C'était la caractéristique la plus frappante de Seto Kousuke, mon "Ami #2" que j'ai rencontré dans cet établissement.

Bien que j'ai personnellement estimé que nous devrions probablement être plus doux lorsque nous parlions de ces problèmes avec Seto, Kido elle ne semblait pas vraiment s'en soucier.

Crachant un rigide "hm", elle a saisi le bout de ficelle qui était derrière elle et a commencé à construire la Tour de Tokyo avec le fil.

J'avais comme l'impression que ça ne se terminerait pas bien si on laissait tout simplement la conversation de cette façon et me suis alors empressé de faire le médiateur entre ces deux là.

"T-tout va bien, et en plus, je veux dire... Seto pense aussi à beaucoup de choses à sa manière..."

"......Um, je suis désolé, mais je ne pense pas du tout à beaucoup de choses."

Seto marmonnait avec son visage encore enfoui dans l'oreiller, ignorant complètement mes tentatives de parler pour lui.

Inversement, Kido leva les yeux avec une expression agitée, libérant silencieusement un sentiment de pression alors qu'elle murmurait "J'ai dit, pas de keigo". Seto a de nouveau sursauté, gardant sa bouche fermée fermement. En un instant, nous étions retournés au point de départ.

J'ai poussé un soupir, appuyé contre le tas de couvertures à côté de moi.

Ce n'est probablement pas bon aujourd'hui non plus. À la vitesse à laquelle les choses allaient, on allait juste finir par tomber de fatigue comme d'habitude. Cette conclusion était très probable.

Depuis mon arrivée ici, plusieurs mois s'étaient écoulés.

D'une certaine façon, ce temps m'avait semblé plus chargé que les deux mois que j'avais passés avec la famille de ma tante.

Ce jour-là, ayant gagné une marque rouge en forme de main sur mon visage dès mon arrivée, j'avais été inquiet à propos de ce qui allait m'arriver. Heureusement, les jours passés ici ont été relativement paisibles jusqu'à présent.

En parlant de ça, j'avais été surpris quand j'avais appris que la fille qui m'avait donné cette marque, "Kido", était elle aussi une orpheline qui était arrivée ici dans des circonstances similaires aux miennes.

Ça aurait été bien si ça c'était arrêté là, mais j'avais été encore plus choqué de découvrir que nous allions vivre dans la même chambre.

Apparemment les chambres étaient normalement séparées par genre, mais comme les autres chambres étaient pleines, et que nous étions aussi encore que des enfants de toute facon, ça avait été la décision finale.

J'avais déjà entendu parler de ce concept auparavant, mais c'était la première fois que j'avais l'impression que les "rencontres destinées" existaient vraiment.

Et aussi, la raison pour laquelle j'avais commencé à l'appeler "Kido" était parce que je n'avais qu'entendu son nom de famille avant que nous ne soyons interrompus.

Et puis, après ce qui s'était passé lors de notre première rencontre, elle refusait même de me parler, pensant que j'étais une sorte de pervers.

Je ne voulais pas me contenter de laisser mon "Amie #1" s'enfuir si facilement, donc je l'ai continuellement suivie, l'appelant "Mademoiselle Kido" encore et encore. Quand elle avait finalement dit "tu n'as pas besoin de dire mademoiselle", j'avais été tellement submergée par les émotions que j'avais presque commencé à pleurer. Mais ensuite, elle ne m'a jamais dit son prénom dans le mois à venir, alors son nom est devenu "Kido" pour moi.

Et celui qui avait été recroquillé dans la chambre et nous attendant avait été Seto, qui avait vécu dans cette chambre depuis le tout début.

Sa personnalité était différente de la froideur raide de Kido. Même s'il ne parlait pas beaucoup, un jour, il s'est soudain mis à me parler longuement, comme s'il essayait de me remonter le moral alors que Kido continuait à m'ignorer.

Il m'a dit qu'il avait été dans cet établissement depuis sa naissance.

Qu'il n'avait pas un seul ami, et qu'il était même souvent harcelé par les autres habitants d'ici.

Que son seul ami, un chien nommé Hanako, était mort l'année dernière... etc. Peu importe sous quel angle on regardait ça, pour ce qui est de "me remonter le moral", cela n'a pas eu un franc succès.

Cependant, alors que j'essayais de le consoler avec des mots comme "c'est bon, c'est bon", quelque chose comme un "lien" s'était développé entre Seto et moi.

Pour parler franchement, il était plus comme un ami que mon "Amie #1", Kido, qui avait refusé de me parler à ce moment-là.

En tant que tel, Seto est devenu mon "Ami #2".

Et cela n'avait absolument rien à voir avec le fait qu'il était venu me demander un jour "Nous sommes... amis, n'est-ce pas ?" avec une expression qui insinuait "Je mourrai si tu dis non."

J'aimais simplement passer mes journées avec ce garçon appelé Seto.

Au fil du temps, Kido a finalement fini par bien vouloir me parler. Bien que c'était encore un peu non naturel, même maintenant, nous trois navigions tout en douceur sur le fleuve de nos vies...

...Non. Ce n'était pas en douceur, pas le moins du monde.

En fait, c'était tout le contraire d'une "navigation en douceur".

Si le lit sur lequel nous sommes actuellement assis était le voilier, ce serait un voilier avec une voile cassée essayant de se frayer un chemin tout seul à travers le centre mort de l'océan Pacifique au milieu d'une terrible tempête.

...Et c'est pourquoi nous avons ces réunions d'analyse.

En toute franchise, nous n'aimions pas être appelé "monstre" ou "démon" par les employés et autres habitants de l'établissement, et nous n'en pouvions plus que des pancartes avec écrit dessus "Chambres des Monstres" soient collées à notre porte.

Donc, nous devions donc nous débarrasser de cette réputation le plus rapidement possible.

"M-monstre... Démon..."

"Ouais, j'espère vraiment qu'ils arrêteront avec ça..... Eh ?"

Je n'avais pas prononcé ces noms à haute voix plus tôt, je les avais simplement pensés dans mon esprit. Alors, pourquoi Seto les avait répétés ?

Je me suis poussé pour regarder Seto, qui a surélevé sa tête des oreillers dans lesquels il avait été enterré, me fixant avec des yeux larmoyants - des yeux qui avaient été teints d'un cramoisi hypnotisant.

Je lui ai donné un "ah" étourdi en fermant les yeux après un moment de réflexion.

(....Tu peux à nouveau entendre ce à quoi je pense ?), j'ai dis tout haut dans ma tête.

"J-Je suis désolé, oui je l'entends." Seto a répondu avec une expression coupable, se retractant de nouveau dans son oreiller jusqu'à ce que seuls ses yeux soient encore visibles.

Comme je l'avais pensé.

Une fois de plus, j'ai recommencé à parler en interne. (Cela a arrêté de se produire aussi souvent que d'habitude ces derniers temps, non ? Mais encore une fois, ses pouvoirs démarrent toujours si soudainement.)

Seto, avec sa bouche encore enfouie dans son oreiller, a répondu timidement, "Cela devrait bientôt cesser..."

Je lui ai adressé un sourire triste, mais une atmosphère étrange s'est soudainement émise depuis la direction de Kido.

J'ai regardé avec appréhension pour voir Kido fixant Seto avec une expression furieuse sur son visage. En voyant ça, Seto ressembla tout bonnement à une souris qui venait de se retrouver en face à face avec un serpent tueur.

Agitant avec hâte ses mains, il a essayé de se défendre contre les pensées apparemment accusatives de Kido. "A-ah, Keigo ! Je suis désolé, je suis désolé ! Eh......? N-non ! Je ne le fais pas exprès !"

Évidemment, alors qu'il disait ça, il était encore entrain d'utiliser du keigo. Son habitude était vraiment incroyablement profondément enracinée dans sa toute personnalité. Kido a jeté sur le côté son jeu de ficelles, avançant avec ses genoux vers Seto, sa main droite formant un poing alors qu'elle dit, "Combien de fois je devrais te dire de ne pas utiliser du keigo...?"

Simultanément, peut-être à cause d'un sentiment de peur extrême, de vastes larmes ont coulées des yeux de Seto alors qu'il avait commencé à pousser des doux et pathétiques cris de terreur.

Ce n'était vraiment pas bon.

Je me suis glissé entre Seto et Kido, levant mes bras d'une manière qui se voulait apaisante.

"Attends, arrête, arrête ! Kido, tu ne t'énerves pas un peu trop pour ça ? Tu ne crois pas ?"

Je me suis forcé à sourire tandis que je parlais, essayant de la retenir quelques instants, mais Kido m'a simplement lancé un regard aveuglant, comme si elle me disait "bouge, ou je te tue aussi".

Son regard était vraiment incroyablement hostile. Si j'utilisais des héros de tokusatsu comme Ultraman comme exemple, elle serait certainement comme un petit monstre ennemi.

Tandis que je pensais à ça, j'entendis Seto ricaner derrière moi en répétant : "pffff, petit monstre."

(Hey, pourquoi tu ris ?! J'essaie de te défendre, tu sais ?!) j'ai dit dans ma tête et Seto a murmuré un précipité "J-je suis désolé !"

Comme cela pouvait être attendu, la colère de Kido avait semblait s'enflammer encore un petit peu plus qu'avant.

"Tu utilises encore du keigo.. Et Kano. Tu viens de dire quelque chose à Seto, pas vrai ?" Kido parlait sur un ton calme, mais avec une intention de meurtre d'une netteté indubitable.

"Eh ?! N-non, je n'ai rien dit ! Pas vrai, Seto ?!"

"O-ouais ! Il n'a rien dit qui est un rapport avec quelque chose comme un petit monstre !"

Peu après, le poing rapide de Kido fila droit dans mon ventre.

"Oof !"

Incapable de résister face à cette force, je suis tombé en arrière sur les draps blancs. Ce coup avait été un si beau K.O. que je pouvais presque entendre l'effet sonore du game over.

Au même moment, Seto a laissé sortir un encore même plus pathétique "Eeeeek--!!"

Faisant de mon mieux pour ignorer la douleur aiguë présente dans mon estomac, j'ai levé la tête pour regarder l'expression de Kido. Peut-être parce que le coup de poing avait dissipé un peu sa colère, les larmes se sont accumulées dans ses yeux jusqu'à ce qu'elle ai commencé à renifler.

Et puis, comme pour montrer son accord, Seto a lui aussi commencé à pleurer.

Quand j'ai récupéré, complètement envahi par une sensation de brûlure de par le coup de poing, j'ai été confronté aux deux, sanglotant à l'unisson....

......Hey, qu'est ce qui se passe sérieusement ici ?

Normalement, dans ce genre de situation, ça ne devrait pas plutôt être moi qui devrais pleurer ?

Cependant, tous les deux se sont mis à pleurer de plus en plus fort, sans tenir compte de mes sentiments à ce sujet.

"Aah, c'est pas bon, si ça continue..."

J'ai été tiré de mes pensées par une prise de conscience alors que je regardais vers Kido. Comme on pouvait s'y attendre, une teinte pourpre commençait à se glisser dans ses yeux, et sa forme avait commencé à s'estomper légèrement.

Exact... Pour une raison quelconque, chaque fois que Kido était bouleversée, ou pleurait, se sentait seule ou quoi que ce soit d'autre à cet effet, elle commençait à devenir transparente... À proprement parler, elle devenait "invisible aux yeux des autres".

Cependant, son pouvoir avait aussi une limitation tout à fait arbitraire, la rendant à nouveau "perceptible" quand elle "entrait en contact physique avec quelqu'un".

Ainsi, tant qu'on lui tenait la main, ou qu'on fouillait dans l'espace où elle avait disparu, tout irait bien. Les cas les plus gênants étaient ceux où Kido allait marcher dehors alors qu'elle était dans son état invisible.

Il y a eu des moments où le pouvoir de Kido s'était activé à cause d'émotions négatives, et puis elle s'était éloignée de la pièce.

Avant, quand elle disparaissait de cette façon, et ne revenait pas du tout après, Seto et moi passions des heures à la chercher.

C'était un peu embarrassant à dire, mais c'était unqiuement dans de tels moments que je ne pouvais vraiment pas appeler Seto yn pleurnichard, car je ne pouvais moi aussi alors pas m'empêcher de pleurer.

Au final, nous avions était incapables de la trouver avanr le matin, mais lorsque nous avions décidé de retourner dans notre chambre pour le moment, nous avions fini par trouver la coupable endormie sur le lit comme si rien ne s'était passé. Je ne veux vraiment pas que ça se reproduise.

C'est pourquoi... cela serait plus simple de trouver un moyen de faire cesser leurs pleurs maintenant.

Et donc j'ai imaginé mentalement. J'avais gardé une forme spéciale en réserve, une qu'aucun d'eux n'avait encore vue, et à présent j'ai laissé sa silhouette, sa forme, son bruit, flotter dans mon esprit...

Quand j'ai ouvert les yeux, tous les deux m'ont donné en même temps un " Wow !" plein d'extase. En entendant cette réaction prévisible, mon propre moral s'est considérablement amélioré.

J'ai sauté rapidement à terre, leur faisant signe de la patte. Tous les deux ont d'abord eu une expression surprise, mais à mon geste, leur expression s'est complètement transformée en grands sourires.

"C'est un chat !"

C'est exact. Pour des moments comme celui-ci, j'étais allé observer des chats errants traînant dehors la nuit, me souvenant de leur forme.

Au cours de ces quelques mois passés avec eux, j'ai appris que Kido aimait les choses mignonnes et que Seto aimait les animaux.

Si c'était le cas, alors cette forme de "chat noir" deveait être quelque chose qu'ils aimeraient tout les deux.

Comme je l'avais espéré, ils ont tout les deux commencé à laisser paraître un grand intérêt.

Kido se pencha hors du lit, frappant des mains en disant, "I-ici ! Viens ici, minou !". Au même moment, Seto a commencé à me faire signe aussi.

En y regardant de plus près, la coloration cramoisie avait disparue de leurs yeux, et la forme de Kido était redevenue nette.

Ufufufu, si adorable.

Si je sautais par là maintenant, ils seraient clairement ravis, mais peut-être que je vais les taquiner encore un peu.

Comme pour me venger de tout à l'heure, j'ai commencé à me rapprocher de quelques pas, avant de courir en arrière, en répétant ce cycle à quelques reprises. Cela semblait leur arracher le cœur dans un schéma de mouvement similaire, et ils ont commencé à faire des gestes de plus en plus bizarres dans le but de gagner mon intérêt.

C'était vraiment, mais vraiment satisfaisant. Pour être honnête, j'étais si ravi que je pourrais vraiment tomber de rire sur le sol, là.

Puisqu'ils avaient l'air de beaucoup aimer ça aussi, je ne pouvais pas en rester là.

Alors, quelle était la prochaine étape ? Peut-être que je devrais faire une petite dance. Ouais, ça semblait être une bonne idée.

Dans un état d'extase, je me suis jetée sur la table, entamant une danse légère. Voyant cela, ils se mirent à rire tous les deux.

Aah, c'était si bien. Je ne m'étais pas senti si heureux depuis longtemps.

Je commençais à danser de plus en plus follement, quand soudain j'entendis un bruit sourd venant de la porte.

Au début, cela ne m'avait pas beaucoup préoccupé, mais voyant les deux autres regarder vers la porte avec des visages blanchis, je me suis tourné moi aussi. Je n'avais pas remarqué à cause de tous les rires, mais à un moment donné, la porte de notre chambre avait été ouverte, et dans l'espace reliant la chambre et le hall, le patrouilleur de nuit était allongé de façon spectaculaire sur le sol.

Pourquoi était-il soudainement tombé dans un tel endroit ? J'ai été confus pendant un instant, mais la raison était facile à comprendre avec seulement un peu de réflexion.

Je me suis arrêté, sentant une froideur se répandre dans tout mon corps.

"Qu-est ce qu'on fait, minou ?" M'a demandé Kudo avec prudence.

Qu'est ce qu'on fait ? C'est ce que je voulais me demander.

Sans une seule idée, je ne pouvais que laisser sortir un "meow~"

......Par la suite, le patrouilleur a semblé un peu dérangé mentalement et a été envoyé dans un autre établissement après avoir proclamé qu'il était "entré dans la pièce pour rappeler aux enfants de se calmer à un moment si tardif de la journée, mais qu'il a plutôt rencontré un chat noir dansant frénétiquement".

Et, il en va sans dire, cet incident a indéniablement induit une nouvelle vague de commentaires négatifs à l'égard de la Chambre 107, notre soi-disant "Chambre des Monstres ".


NDT(1) : Le Keigo est la politesse en japonais. C'est une forme extrêmement polie et respectueuse.