Artificial Enemy (partie 4)
Je me suis levé de ma chaise et j'ai ouvert mon placard. Étant donné que je n'étais même pas sorti dans le quartier, j'avais seulement eût à tourner entre deux ensembles de vêtements. Pour cette raison, ma commode était essentiellement inutilisée.
Mais aujourd'hui... juste pour aujourd'hui, je vais l'ouvrir. "M....Maître !?"
J'ai entendu une voix surprise provenant de derrière moi, dans le ton qui serait utilisé pour dire quelque chose comme, "Ça ne se peut pas !"
Faisant le premier pas, j'ai regardé mes parkas et jerseys qui étaient soigneuseme Les souvenirs de mon isolement de l'époque où je les portais revinrent tout à coup. "Ugh......"
Alors que je me souviens de ceci et cela du passé, j'ai été frappé par un sentiment semblable à celui d'un vieux, des blessures vibrantes. J'ai secoué violemment ma tête, ramassé le maillot plié qui était tout en haut de l'éloigne côté droit, puis refermé le tiroir.
Passant à la seconde étape, j'ai sorti la charge de pantalons et shorts qui étaient aussi soigneusement pliés. De là, J'ai sélectionné une paire de pantalons cargo kaki, et encore une fois, ai fermé rapidement mon tiroir.
"Maître ! Qu'est-ce qui ne va pas !?" J'ai enlevé les sueurs que je portais jusqu'à présent, et alors que j'ai mis les vêtements que j'avais choisi, elle a paniqué comme si j'avais fait quelque chose de très sérieux.
"Vous n'avez jamais été habillé de cette façon avant ! Qu'est-ce que ça signifie......?" "......Shopping." "Eh......?" "Je vais faire du shopping! Y-a-t-il un problème avec ça ?!" "Shop....ping......?"
Il semblait qu'elle ne s'était pas attendue à cette réponse. Qu'a-t-elle pensée que je ferais après ça ?
"C'est exact...... je vais juste aller les acheter moi-même. Puisque tu n'as été d'aucune aide." "Shopping......!? Vous m'avez vraiment surprise ! Je pensais que vous alliez mourir ou quelque chose du genre !" "Bien sûr que non ! Quel genre de gars mourrait juste à cause de soda renversé sur son clavier ?!" "Et bien... Le Maître, par exemple..." "......Très bien......"
Cela n'a pas ressemblé à quelque chose que je ne ferais pas. Bien que malheureux, c'était un fait que j'avais considéré il n'y a pas si longtemps. Nous avons continué à plaisanter dans les deux sens tandis que j'ai avancé dans mon habillage.
"......Bon, je pense que ça va le faire."
J'ai tiré la fermeture éclair jusqu'à ce qu'elle atteigne le haut du jersey, et grâce à ça, j'ai terminé de me changer. Les vêtements légèrement raides que je n'avais pas portés depuis un moment m'ont fait me sentir mal à l'aise pour une certaine raison, comme si je les portais pour la première fois.
"Wow~! Vous avez l'air plutôt cool ! D'ailleurs, je pense que cela met un terme à votre ancien look." "Oh...... vraiment ? Ça va......?" "Ça va totalement ! Vous êtes beau !" "Vraiment ? Je me sens un peu gêné maintenant...." En étant embarrassé, mais avec des sentiments qui n'étaient pas tout à fait désagréables, je me suis tourné face à l'écran pour voir des images alignées de mannequins de première classe, de beaux mannequins. Et de l'autre côté des images, je pouvais seulement entendre une voix disant, "Vous semblez vraiment tellement cool! C'est exactement le style de mode auquel je m'attendais !" "Tu me désespère là, donc juste.... arrête......" "Eh ? Pourquoi ?" "Oublie ça. J'y tiens......"
En un instant, tout mon enthousiasme pour cette sortie s'en est allé. Toutefois, Je n'avais pas l'intention de revenir en arrière à ce stade. J'ai retiré le sac qui pendait dans mon placard, et l'ai accroché autour de mon cou. J'avais fini les préparatifs en grande partie. Je n'avais plus qu'à m'attaquer à mes petites affaires. "Laisse-moi voir, portefeuille, et...... Je suppose que je n'ai pas vraiment besoin d'autre chose." J'ai ramassé mon portefeuille, que je n'utilisais habituellement que pour payer les commandes par correspondance, à côté de mon lit. "Je pense que c'est tout. Phew...... Bon, il est temps d'y aller, alors." Je pris une profonde inspiration, et approchais la porte de ma chambre.
"A-attendez une minute, Maître !!"
Au moment où je pose ma main sur la porte, j'ai entendu une voix m'appelant pour me stopper, et j'ai regardé en arrière dans la direction de mon ordinateur. "Quoi......? J'y vais, donc ne fais pas plus de choses bizarres." "Et bien.... Um, cela fait un moment depuis la dernière fois que vous êtes allé dehors ? Donc c'est pourquoi j'ai pensé que, um...... Deux personnes ne valent-elles pas mieux qu'une~?" " Deux ? Ce n'est pas comme si j'avais quelqu'un que je puisse inviter." Après avoir deux ans ainsi, je n'avais pas un seul ami que je pouvais encore contacter maintenant. Bon, même si j'en avais, ce n'était pas comme si je les inviterais, de toute façon. "Non, ce n'est pas vraiment ce que je veux dire...... Umm...... Je veux dire, si c'était moi, Je pourrais servir de navigateur ou quelque chose comme ça, alors......"
La façon dont elle agissait semblait sous-entendre fortement quelque chose. Bien sûr, il était évident qu'elle essayait de me dire de l'emmener, mais qu'est-ce que j'étais supposé faire ? Emporter mon ordinateur avec moi ?
"Comment es-tu même supposé venir ? Bien, je vais t'emmener, alors sors, si tu le peux." "Eh ? Vraiment !? D'accord, je vais sortir maintenant, donc......!" Elle souriait, pointant vers la petite commode à côté de mon lit.
――Au dessus de celle-ci se trouvait couvert de poussière, un téléphone portable à écran tactile.
Une chaude journée. Une vraiment, chaude, journée d'été. L'été a-t'il toujours été aussi chaud ? Ayant été béni par l'air conditionné en intérieur jusqu'à récemment, je jaillisais à présent tellement de sueur que je pensais que je pouvais l'entendre grésiller. Cela ne faisait que vingt secondes. Bien que je sois parvenu à sortir, mes points de vie diminuaient sous mes yeux.
"Ah~ test, test. Maître, pouvez-vous m'entendre ? Ah~ ah~" "......Devrais-je rentrer maintenant......?" "Eh ? Vous avez dit quelque chose ? S'il vous parlez un peu plus près~" "Non...... Ce n'est rien......"
La propriétaire de cette voix indifférente ne pouvait probablement même pas sentir la chaleur. C'était quelque chose pour laquelle on pouvait l'envier. Portant des écouteurs, ainsi qu'ayant mon téléphone mis en place presque comme un émetteur-récepteur, je me demandais si je ressemblais à un stratège qui effectuait une opération. Jouant la sirène qui a été utiliée ce matin, j'ai été menacé de recruter des amis sur le tableau d'affichage de la page d'accueil de mon lycée en utilisant mon vrai nom, et, à la fin, a été contraint de donner pour l'amener. Sur l'écran d'accueil, Ene souriait d'une oreille jusqu'à l'autre comme si elle était le fond d'écran du téléphone. Toutefois, elle ne semblait pas avoir une quelconque intention de jouer calmement ce rôle, et était plutôt en train de se déplacer rapidement. Penser que le jour viendrait où je serais forcé dans une opération par un programme...... Bien que l'opérateur était plus comme une certaine sorte de terrible, fléau moderne.
Arrivant aux voies publiques, je me suis finalement souvenu de la puissance de l'attaque de l'été. Plus loin sur la route, la brume de chaleur se balançait. J'avais l'impression d'être comme une créature du Pôle Nord ou de l'Antarctique se sentirait si elle était soudainement jetée dans la savane.
"Chaud." L'humidité exacte ou la température n'avait pas d'importance.... C'était juste "chaud." "Es-tu sérieuse.....? L'été a-t'il toujours été comme ça......?" "Ne vous l'ai-je pas dis plus tôt ? Aujourd'hui, il semble qu'il y a un certain nombre de personne qui ont été transportées à l'hôpital à cause d'un coup de chaud. Ah, Maître, avez-vous emporté votre carte d'assurance ?" "Je l'ai prise... donc ça va aller si je suis transporté à un quelconque moment, mon dieu...." Quand j'ai quitté la maison, j'ai apporté diverses choses donc je serais préparé si quoique ce soit arrivait. Même dans le cas du pire scénario où je m'evanouirai quelque part, j'avais mon identifiant sur moi.
"Ohh ! Alors il n'y a rien à craindre ! Maintenant, marchons vite !" "C'est vrai.... ―attends, pourquoi est-ce que tu dis ça ?! C'est de ta faute en premier lieu si―" "Ah ! Maître, vous devriez tourner à droite de l'intersection juste maintenant ! À droite !" "Eh ? La route juste là ? Oh, au temps pour moi... Curieusement, je ne me souviens pas du tout de la route. Honnêtement, je ne sais plus quel chemin est qui." "Maître n'est vraiment pas sorti dehors, n'est-ce pas? La dernière fois que vous êtes sorti dehors était il y a deux ans, pas vrai ? La carte a complètement changé depuis, vous le savez ?" Étant trop concentré sur la chaleur, je ne l'ai pas vraiment remarqué, mais cela semblait avoir changé considérablement.
Il y avait un bâtiment ridiculement énorme d'une certaine sorte, et plusieurs immeubles d'appartements nouvellement construits ; le peu d'informations dont je me souvenais étaient à présent complètement inutiles. Était-ce qu'ils appelaient le développement urbain ? J'avaisvécu dans cette ville pendant longtemps, mais il n'aurait pas été possible que les choses soient modifiées aussi radicalement en seulement deux ans. Ou peut-être était-ce parce que j'avais été confiné dans ma chambre, que c'était juste la différence que je ressentais de sortir pour la première fois depuis si longtemps ?
Presque comme si ma propre ville était refaite par quelqu'un, peu à peu. J'ai été frappé par ce genre de sensation.
Les résidents de cette ville, moi inclus, vivent probablement leur vie quotidienne sans même remarquer ces changements. En pensant à cela, je suis retourné à l'intersection, tourné à droite comme on m'a dit, et ai vu la rue principale. Étonnamment, ma maison était située dans un assez bon emplacement par rapport à ici. La quantité de trafic était raisonnablement élevée ici, et beaucoup de gens l'empruntaient. Dans la rue qui passait entre les bâtiments de chaque côté, la façon dont les gens apparaissaient et disparaissaient de gauche à droite, et de droite à gauche, n'avait pas l'air très différent de l'écran d'accueil que je regardais tous les jours.
"Umm, dans la suivante rue, allez à gauche la route jusqu'aaaau bout. Et puis, à droite―...... Maitre?" "Eh ? Oh, o-ouais. Je vois. Donc, vers quel chemin je vais maintenant ?" "Comme je le disais, la rue suivante est à gauche ! Et après ça, c'est à droite ! Qu'est-ce qui ne va pas, Maître ? Vous avez beaucoup d'absences... Se pourrait-il que vous ayez déjà eût un coup de chaleur ??!" "Non, ce n'est pas ça. Je pense que j'ai juste un sentiment étrange.... Y a-t-il vraiment un grand magasin là-bas??" Il n'y avait pas de grand magasin là-bas il y a au moins deux ans. Quand j'envisageais d'acheter de l'électronique, je me souviens toujours avoir à faire un assez long voyage pour cela. "Je n'en ai aucun doute. Umm... sur la page d'accueil, 'Le grand magasin dans votre ville ! Du mobilier aux appareils ménagers en passant par les ustensiles de cuisine, nous stockons tout' c'est ce qui est écrit. ......Oh ! Mais il est seulement ouvert depuis le printemps dernier." "Oh..... Pas étonnant que je ne savais pas. Mais pourquoi est-ce dans un endroit comme ça....." "Hm~ Mais les zones environnantes semblent être activement développées. Si vous allez à un peu à droite à partir d'ici, il y a un grand hôpital, et avant ça il y a une nouvelle école... et de l'autre côté de l'école se trouve une grande librairie. Il semble que tous ces bâtiments ont été commencés l'année dernière, et finis cette année à peu près en même temps." "Quelque chose comme ça est possible !? D'une certaine manière, cela semble vraiment avoir changé... Oh, on est presque à la rue principale...?" Après avoir quitté la rue à sens unique, le panorama de la ville s'étend devant moi.
Des panneaux d'affichage, des arbres aux bord des routes, des bureaux et des restaurants. Un étudiant en uniforme, un employé de bureau s'excuse profusément à travers un téléphone cellulaire dans une main. Tout cela émet du bruit, du bruit, et du bruit. De cette variété d'informations inutiles, j'ai ressenti quelque chose comme des vertiges
"Ohh.... Cela semble déjà impossible. Devrions-nous rentrer ? Ok, rentrons." "Il y a beaucoup de gens. C'est donc le pouvoir de la fête de l'Obon. Faisons de notre mieux!" "Tu n'écoute vraiment pas ce que je dis, n'est-ce pas ? .... Ahh~ Il y a vraiment beaucoup de gens..." Alors qu'il y avait une maintenance en cours, par rapport au sentier d'avant, c'était beaucoup plus facile de marcher sur le trottoir, sous l'ombre des arbres au bord de la route.
Toutefois, les gens et les voitures qui passaient dans les rues faisaient augmenter considérablement la température de mon corps. Tout en marmonnant et rouspétant, je suis allé dans la rue et approché une intersection massive. "À la fin, n'allez-vous pas, 'Je meeuurs~ Je meeuurs~,' si vous êtes à la maison ? Soyez un petit peu plus patient !" "Toi-...... ahh, c'est inutile. Je ne veux pas gaspiller mon énergie à essayer de te parler plus. Oh, c'est vert maintenant. Devrions-nous traverser.....?"
Quand j'ai traversé l'intersection une fois que le feu est passé au vert, j'ai vu un parc un peu plus loin face à moi. Une balançoire, une aire de jeux, une fontaine, etc ; il y avait un paquet de beaux équipements de terrain de jeux alignés que les enfants ne seraient problament pas en mesure d'aider mais plutôt de se précipiter pour jouer dessus. Tandis que je continuais, j'ai vu un aperçu d'un grand, distinct panneau d'affiche au-dessus du côté droit de l'énorme, bâtiment du département qui avait été précédemment dissimulé par les arbres au bord de la route. "Ç-ça a l'air beaucoup plus grand que je ne le pensais....! Ils ont vraiment construit quelque chose comme ça?....?"
"C'est parce qu'il semble être le plus grand magasin de la région ! Que diriez-vous de voir pour des vêtements, aussi ?" "Idiote ! Ne t'ai-je pas dis que je sortais seulement pour aujourd'hui ?Je suis dégouté de ce monde chaud." "C'est vrai ~! Je pensais que vous diriez ça ! Vraiment, si Maître disait qu'il allait acheter des vêtements, je devrais composer le 119 ² !" "Suis-je un homme des cavernes !? J'achète des vêtements, au moins ! Idiote !" "Ohh, alors irons-nous les regarder ?" "N-non... c'est bon pour aujourd'hui..." Dès que j'ai dit ça, j'ai entendu un gloussement qui sonnait comme, "Pukkuku....." Sentant mon visage devenir rouge, j'ai fourré mon téléphone portable dans ma poche. "Uwaa ! Maître, c'était une blague ! Revenons une autre fois, d'accord ?" À cause du fait que le téléphone portable était dans ma poche, elle ne pouvait probablement pas entendre ma voix. "Une autre fois...... ouais." j'ai réussi à marmonner. Utilisant le panneau d'affichage comme point de repère, j'ai vu une autre énorme intersection à deux voies. Séparé par la rangée de bâtiments sur le côté droit, le bâtiment du ministère est apparu de l'autre côté de l'intersection.
――L'image complète ne pouvait être décrite que par un seul mot : "gigantesque."