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Children Record IV

C’était l’enfer.

Il y avait plusieurs raisons à cela, mais c’était la seule manière que j’avais de décrire ce voyage.

"Shintaro, combien temps vas-tu rester allongé comme ça ?"

En buvant la boisson énergétique qu’elle avait achetée sur le chemin, Kido me dit ça, moi qui m’étais effondré sur le parquet.

"Donne moi un peu de répit… Je suis mourant."

Le parfum frais et estival du tapis d’herbe sur lequel je me trouvais parvint a mes narines.

L’ombre des arbres contribuait aussi au charme de l’endroit.

"L’odeur des plantes est horrible..."

"Je ne veux pas entendre ça de la bouche de quelqu’un qui empeste le vomi. Tout d’abord, c’est parce que tu as bu trop de soda afin de ‘prévoir la bouffée de chaleur’ que l’on en est arrivés là."

La plaie encore ouverte dans mon cœur me fit atrocement mal au retour du piquant de Kido.

Même si on m’a dit ça, pour quelqu’un qui aime le soda, c’était nécessaire pour ma vie. C’était évident que je comptais dessus pour être mon substitut à l’eau.

Cependant, j’ai tout vomi dans un buisson quelconque plus tôt.

"N-ne dis pas ça ! Soit un peu plus compréhensive !"

"Hum, c’est ma faute. Quoi qu’il en soit, j’ai été prise au dépourvu depuis que je suis venue ici, mais c'est comme si nous avions perdu beaucoup de temps."

Ça nous a pris une heure de venir ici en train depuis la station la plus proche de la base.

Après ça, nous avons marché pendant deux heures et demie. C’était un voyage très dur, suffisamment pour tuer un NEET.

Donc bien sûr, j’ai voulu vomir une ou deux fois.

Il n’y avait rien de mal avec moi ou mon soda. C’était de la faute de l’été.

Bon, même si c’était de la faute de l’été…

"Hey Kido. Je sais qu’ils sont empruntés, mais il n'y avait pas de vêtements de randonnée plus attirant que ceux-là ?"

Dis-je en pointant les habits que je portais.

"Tu es celui qui a dit qu’il ne voulait pas salir son survêtement. Je ne connais aucun accoutrement meilleur que celui-ci pour faire de la randonée."

Kido répondit, et s'assit à coté de ma main droite.

Cependant, comment pouvait-on porter ce genre d’habit au milieu de l’été ?

Au moins, des habits plus fins auraient été…

Alors que je pensais à ça, je me rappelais que ces vêtements était le choix de quelqu’un qui portait une veste a manche longue comme d’habitude, alors quoi que je dise ça aurait été inutile.

"…Bref. Marry vivait vraiment das un endroit fou. Il n’y a pratiquement rien ici. Comment a-t-elle fait avec la nourriture ?"

"J’ai pensé la même chose, et j’ai essayé de lui demander à ce propos, mais… Non, impossible."

Kido dit ça, et tient sa tête entre ses mains. Je pouvais facilement deviner qu’elle avait reçu une réponse incroyable à sa question.

"Alors, tu veux dire que..."

"Ouais, il paraît qu’elle n’a rien mangé. Rien bu non plus. Mais lorsque nous l’avons ramené au repère pour la première fois, elle était émerveillée par la nourriture la plus banale."

Marry était finalement devenue un mystère complet. Elle n’a rien mangé dans un endroit comme celui-ci, et a vécu plus de cent ans. Elle était remplie de mystères.

"Je ne sais pas mais Marry peut être une sorcière immortelle ou quelque chose comme ça. Vivant dans la montagne et tout."

"Ouais, j’y ai pensé aussi, à l’instant. Bon, je pense que l’on n’est pas aidés avec cette chaleur."

On était au milieu de la licière d’une forêt.

Bon, la maison de Marry était au bout d‘un chemin tellement complexe que je ne pouvais pas vraiment dire qu’il s’agisse du centre, mais Kido et moi parlions devant l’habitation tout en protégeant nos têtes du soleil.

"Alors, qu’est-ce que on va faire ? On ne peut rien faire tant que nous ne serions pas à l’intérieur."

"Marry nous a dit d’attendre pendant qu’elle rangeait l’endroit, on ne peut rien y faire, hein ?"

Dans cette situation peu commune, comment pouvais-je simplement me sentir comme si j’avais été invité pour aller dans la maison d’une fille ?

Normalement, ça devrait même faire en sorte que mon cœur batte plus vite, mais franchement, je ne n’avais pas la tête à ressentir ça maintenant.

Juste au moment où je pensais faire une sieste en attendant, le visage de Konoha apparut devant moi alors qu’il me regardait.

"Quoi ?"

"Ah, euh…"

En quittant le repère, on a fait porter a Konoha un grand sac au cas où nous trouvions quelque chose que nous voudrons ramener, mais depuis que Marry y a rajouté des boissons et d’autre choses en cours de route, il s’est vraiment transformé en mulet.

Cependant, en considérant le nombres de mouvement qu’il a fais hier, ce n’était sûrement pas grand-chose pour lui, mais je ne pouvais m’empêcher de me sentir mal.

"Hum, bien, ici…"

Konoha sortit une bouteille du sac et me la tendit.

"Tu n’avais pas l’air de te sentir bien tout a l’heure, alors je me demandais si tu te sentais mieux."

Je fus lent à la détente, à cause de cette gentillesse soudaine, mais je réalisai que c’était la manière de Konoha de montrer ses bonnes intentions, j’acceptai volontiers de sa part.

"Ouais, merci. N’hésite pas à boire quelque chose si tu veux."

Après avoir dit ça, Kido me pointa du doigt et dit « Si tu bois trop, tu finiras comme lui, alors sois prudent."

"Aahhhhh ! Lâche moi un peu ! Je te l’ai dit, je suis sensible à ce propos !"

"Oh, tu l’es ? Désolée, c’est ma faute."

Kido répliquai nonchalamment en me tapotant l’épaule.

Quel horrible traitement. Les NEETs sont des créatures fragiles, alors leur santé dégringole à la moindre chose. Elle ne pouvait pas me traiter plus gentiment ?

Juste lorsque nous commençâmes à faire du bruit comme ça, la porte de la maison de Marry s’ouvrit soudainement.

"Je suis désolée que ça ait pris autant de temps. Vous pouvez entrer maintenant !"

Marry a juste collé son visage a la porte, et dans un cliquetis de la clef qu’elle portait autour de son coup comme un pendentif, disparut de nouveau à l’intérieur.

"Bien, rentrons."

En disant ça, je me levais, avec Kido, et je m’étirais.

"Ça serait bien de trouver quelque chose de nouveau."

L’objectif de cette fois était de trouver quelque chose en rapport avec le mystère des Eye abilities, mais aussi sur la famille de Marry. On s’est aussi dit que ça serait top de trouver des informations sur "l’autre monde", bien sûr.

Finalement, si on pouvait en apprendre plus sur a famille de Marry, ça éclaircirait certains points.

"Je me demande si on sera capable de trouver où est Hiyori."

Au moment où ma main toucha la poignée pour entrer dans la maison, Konoha murmura doucement ça derrière moi.

"Hum~ On ne possède pas suffisamment d’information sur ça, alors c’est difficile à dire… Nous garderons un œil ouvert sur quoi que ce soit qui ressemble à un indice, au final. Bon, commençons juste par regarder."

En lui répondant, je lui tapotai le dos et il hocha la tête en réponse.

"Désolé de l’intrusion~… Oh, wow… "

Lorsque j’ouvris finalement la porte, l’intérieur ressemblait à une maison de poupée mise à l’échelle humaine.

La pièce était remplie d’étagères remplis de vieux ouvrages.

"C’est une très belle pièce."

Je dis ça au meme moment où j’admirais les lieux, peut-être a cause de la gêne ou de la joie, Marry fixait le sol avec timidité.

"Grand-père a construit cette maison. C’est ce que maman m’as dit."

"Ton grand père, tout seul ? C’est impossible. Pas vrai Kido ?"

Je questionnai Kido qui venait d’entrer à l’intérieur, mais elle contemplait la pièce avec une expression étonnée, comme si elle n’avait jamais rien vu de tel auparavant.

"….. Tu n’as pas dit que tu étais déjà venue ici ?"

"Non, je ne suis jamais venue ! Quoi qu’il en soit, c’est vraiment un charmant endroit, Marry… Je suis jalouse… "

Après que Kido réagit de la meilleure des manières, Marry répondu "Ahahah !! Merci"

Elle s’assis sur une chaise proche de la fenêtre et dit "C’est vrai que ça fait longtemps…" en contemplant l’extérieur

"Shintaro, je veux vraiment vivre ici."

Kido se retourna et déclara ceci d’un ton neutre.

"C-ça ne serait pas un peu dur de vivre ici ?"

Dès qu’elle entendit ça, Kido commença à murmurer des choses comme "Oui mais…" et "Qu’en est-il de la nourriture…"

De l’autre côté, Konoha arborait un visage sérieux, et semblait chercher quelque chose en particulier parmi les livres.

On dirait que ce type prenait ça au sérieux, contrairement à notre commandant.

Pendant que je l’observais, Konoha tendit de manière inattendue sa main vers l’un des bouquins. Avait-il trouvé quelque chose ?

Soudainement, il se retourna vers Marry et l’appela.

"P-puis je voir ce livre ?"

"Hein ? Bien sûr, ça ne me dérange pas."

"Merci !"

Juste après qu’il ait dit ça, Konoha s’empara du livre et commença à le feuilleter. Son attitude serieuse contrastait avec celle qu’il avait en temps normal.

"H-hey. Tu as-tu as trouvé quelque chose ?"

Même lorsque je lui demandai, Konoha semblait totalement plongé dans ce livre, et il continuait de tourner les pages.

Curieux de voir ça, je m’approchai de lui. Au moment où je vis la page où il s’était arrêté, je compris pourquoi il était si sérieux.

"Et, ça ne serait pas…"

"Oui, j’ai été surpris…"

Sur la page ouverte était dessiné un énorme dragon. Il y avait aussi une légende en anglais, mais Konoha s’intéressait plus au dessin du dragon.

" … Il est tellement cool."

Mes épaules s’écroulèrent d’un coup, j’étais un idiot d’en attendre quoi que ce soit de sa part.

Bon, tout d’abord, ça n’aurait pas été facile de trouver quelque chose. Je me suis senti très stupide de m’être emporté pour si peu.

Quand mon moral redescendit à zéro, Kido posa sa main sur mon épaule.

"Shintaro, j’ai trouvé quelque chose de fou."

Espérant que cette fois soit la bonne, je fis volteface à Kido qui portait quelque chose de comparable à un carnet.

Sur un coin, le mot "Secret" était inscrit en petites lettres noires.

"Alors c’est…"

"Ouais, on dirait qu’il y avait quelque chose de dangereux…"

Kido déclara cela avant de commencer à ouvrir doucement le livre.

Sur la page était dessinée une fille que je devinais être Marry courant avec une épée à la main.

Était-elle l’héroïne d’un royaume ? Mais à en juger de la couronne qu’elle portait, elle devait faire partie de la royauté aussi.

On tourna la page.

Cette fois, il y avait un dessin de Marry chevauchant une créature a grosse jambe qui ressemblait à un dragon ou à un lézard.

Essayait-elle de dompter cette chose ?

Marry avait une épée à la main, mais peut être aussi une espèce de lance. Même si elle était en plein combat, Marry paraissait paisible avec un sourire collé aux lèvres.

On tourna la page.

Sur la page suivante, il y avait une image de Marry dansant frénétiquement.

Une forte de célébration pour fêter sa victoire sur le dragon-machin-chose ?

Mais à y voir de plus près, le dragon dansait aussi. Même s'il avait déjà été poignardé à l'épée, quel genre de compétences en négociation a-t-elle utilisé pour qu'ils se réconcilient déjà ?

Depuis un moment, Kido reniflait à chaque fois que l’on tournait la page, et semblait déjà avoir du mal à respirer. Au final, ce livre ne nous a apporté rien de plus.

"Ahhhh ! Ne regardez pas ça !!!!"

Au moment où Marry, qui fixais l’extérieur, remarqua que l’on regardait ce livre, son visage rougit et elle bondit de son siège.

"Désolée… Marry… Heh, hehe…"

Kido avait l’air amusée par l’aventure illustrée, et était sur le point de s’effondrer tant elle riait.

"Ce sont juste des griffonnages ! Alors... Ahhhh ! C’est tellement embarrassant."

Marry cria en tenant sa tete entre ses mains. Ce n’était probablement que mon imagination, mais ses cheveux tremblaient légèrement.

"C’est plutôt impressionnant que ce soit toi le personnage principal"

Je commentais de manière désinvolte, ce qui fit rire Kido encore plus fort.

Marry cria encore d’embarras.

Penser que nous avons découvert ce sombre passé si magnifique.

C’était sûr que c’était dur pour Marry a cet instant, j’espérais vraiment qu’elle ait grandis avec cela.

Kido s’assis sur une chaise et entrepris de reprendre son souffle.

Cependant, elle continuait de sourire a chaque fois qu’elle y repensait, ce qui faisait crier Marry "Pas plus" à chaque fois.

"Et, Marry, il y’aura pas quelque chose comme un journal ici ?"

Pensant que nous devions commencer à chercher sérieusement, je demandai cela à Marry, qui se tourna en me dévisageant.

"Je n’ai rien de plus bizarre que ça… !"

"Ahh, non, pas le tien ! Je veux dire un journal de ta mère ou quelque chose comme ça, je me suis dit qu’il y avait peut-être quelque chose d’important."

Je m’empressai de m’expliquer et Marry arrêta de me fixer.

"Hum…. Je pense qu’elle en a écrit un…"

"Vraiment ? Où est-il ?"

Dès que j'ai demandé, Marry comença a refléchir, "Je me souviens qu'elle y tenait vraiment, mais où l'a-t-elle caché après... ?"

"Hum, derrière la bibliothèque… ?"

"A propos de la bibliothèque, pas vrai ? Tu as entendu Konoha ?"

Konoha répliqua "O-ouais !" et commença à chercher au sommet de chaque bibliothèque.

Cependant, il ne trouva aucun journal.

Alors que Konoha cherchait en haut de la dernière bibliothèque, il déclara "il n’est pas là~"

"Pas au sommet d’une bibliothèque alors…"

"Hey ! On dirait que ce n’est pas là ! Konoha !"

Il répondit "J’ai compris !" et arrêta de chercher.

"Hum… Le jardin…"

"Konoha ! Le jardin !"

Konoha répondit, "j’ai compris" et sortit de la maison.

"Ou pas…"

Comme je m’y attendais, ce n’était pas dans le jardin. Désolé Konoha, je t’offrirai un jus plus tard.

Pendant que Marry réfléchissait, il y avait encore un endroit ou le journal pourrait possiblement être.

"Marry, ce qu’il y a autour de ton cou- c’est la clef de la maison, non ?"

"Hum ? Oui, c’est vrai. Elle appartenait à Maman… "

Mary sorti son pendentif, et la clef fit un cliquetis mécanique.

Le fait que cela produise du son était du au fait qu’il y avait en vérité deux clefs.

L’une beaucoup plus petite que l’autre. Il n’y avait qu’une entré, et ça ne pouvait pas être une clef de secours.

C’était simple, en entrant, le seul meuble avec une serrure que j’ai vu était un petit bureau placé entre deux bibliothèques.

"Cette autre clef était pour le bureau là-bas, pas vrai ? Peut-être que le journal est dans le tiroir…"

Non, impossible.

Marry mise de côté, si le journal était dans un endroit aussi évident, on n’y penserait pas maintenant.

Le journal ne pouvait pas être dans le bureau.

Mais s’il n’y était pas là, alors où…

"Hum ?"

Après avoir entendu ce que je dis, le regard de Marry n’arrêtais pas dechanger de direction, tantôt vers moi, puis vers la clef, et enfin vers le bureau avec une expression traduisant sa stupeur.

"Je ne l’ai jamais remarqué…"

"Quoi…"

Ahh, qu’a-t-elle fait pendant un siècle… je commençai à réfléchir, mais me rappelai que c’était le genre de personne à danser avec un dragon qu’elle venait de tenter de tuer.

Il y’avait probablement des choses que qui se déroulaient dans sa tête que je ne pouvais même pas imaginer.

Sentant un peu de déception, j'ai regardé par la fenêtre et, pendant un bref instant, j'ai vu une silhouette blanche passer.

Juste au moment où je me suis dit qu’il fallait le rappeler, Marry incéra la clef dans la serrure du petit bureau.

"… On vas juste le laisser pour l’instant."

Désolé Konoha. Il y aura une restriction, mais je te payerai un repas la prochaine fois.

Quand je pensais ça, Kido reprit enfin son souffle.

"… Heh. Désolée pour ça, Shintaro. Je vais bien maintenant."

Ouais mais on n’a pas fini ici, me dis-je a moi-même.

Kido avait l’air de s’être rétablie de sa crise de fou rire.

Même si elle semblait un peu fatiguée.

"Je me suis dit que ce bureau était louche, aussi. Vraiment, bon travail Shintaro."

Qu’est-ce qu’elle disait ? J’étais le seul qui pensais qu’elle n’a rien fait à part rire ?

"… Bon, ça serait super si on pouvait apprendre quelque chose de ce journal."

Finalement, on serait capable de trouver quelque chose que Marry ne nous a pas déjà expliqué elle-même.

Peut-être que ce sera quelque chose en rapport avec leurs pouvoir des Eyes … ou de l’"autre monde".

Je plaçais mes espérances haut.

Tout m’allait. Même quelque chose d’anodin, ça pourrait être la clef qui reliait tout.

Un petit clic résonna dans toute la pièce.

"Shintaro ! Je l’ai trouvé !"

Marry s’exclama en tenant un cahier bleu nuit gros comme un dictionnaire.

C’était assez épais pour un journal.

Marry revint sur ses pas et posa le journal sur le bureau créant un petit bruit.

On aurait dit un livre de sorts dans les MMORPG ou quelque chose comme ça et, fermé, il nous donnait un sentiment intimidant.

Depuis combien de temps n’a-t-il pas été utilisé ?

S’il y avait des choses concernant Marry, alors probablement deux derniers siècles.

Soudainement, on entendit une porte s’ouvrir, et lorsqu’on se tourna pour voir, Konoha venait de rentrer.

"D-désolé… Je ne l’ai pas trouvé."

On se tut tous. Si je pouvais entendre le son de ma conscience, ça serait surement le son d’une explosion.

"Ah, euh, à ce propos…"

Je commençai à bégayer mais il remarqua le journal sur la table.

Je commençai à me sentir nerveux, encore.

"Oh, vous l’avez trouvé, quel soulagement…"

Cependant, Konoha avait vraiment l’air soulagé en disant ça.

Ahhh, c’était vraiment un type bien…

Mais au même moment, je me sentais coupable. Je vais vraiment inviter à manger.

"Bon, on l’a trouvé, mais Marry… Avant qu’on ne le lise, tu devrais y jeter un œil d’abord."

Comme prévu, ça ne devait pas être plaisant de laisser quelqu’un voir des affaires personnelles te concernant.

Cependant, Mary répondut "La peine de tout le monde sera soulagée par ça, alors ça va."

La peine de tout le monde. Tout ce que chaque membre de ce groupe a traversé.

On ne sera sûrement pas capable de redevenir heureux juste en sachant ça.

Mais, si on pouvait trouver un moyen de changer en le sachant, alors nous devons trouver la vérité.

"Très bien. Dans ce cas, je vais le lire. "

Il n’y avait rien d’écrit sur la couverture de l’épais journal, elle était simplement d’un bleu profond.

Les trois autres se rassemblèrent autour de moi afin de pouvoir voir.

Le tenant de manière a ce que tout le monde puisse voir, je tournai la couverture.

*

Le contenu de se journal était des choses que nous, qui ont été béni de vivre comme des humains "normaux" ne pouvions pas savoir.

Vraiment profond, et vraiment triste.

A l’intérieur, se trouvait l’étrange vie de ceux qui ont continué à chérir quelque chose.

Même maintenant, je ne peux toujours pas oublier ce que j’ai ressentis en tournant la page.

Je suis sûr que je ne l’oublierai jamais, non plus.

A ce moment, quand j’ai ouvert le cahier, moi, qui n’avait même pas de raison de savoir ces choses qui étaient sur le point de se dérouler, pouvait seulement parler du nom qui était inscrit ici.

"Azami"